DECOUVRIR L’AUTEUR

 

 

Tout d’abord, Bernard Elmira est un pseudonyme créé juste pour ce roman et je demande à tous les Bernard Elmira qui pourraient exister de par le monde de bien vouloir m’excuser de leur avoir emprunté leur patronyme.

 

Maintenant à la retraite, j’ai fait carrière comme programmeur, chef de service de programmation à Montréal (Québec), consultant en informatique dans une grande SSII, responsable de formation chez un grand constructeur informatique avant de partir en préretraite.

 

Je suis marié et père de quatre enfants. Amoureux des voyages, c’est lors d’un séjour de quatre ans au Maroc que je rencontre mon épouse à qui je communique ma soif de découverte des beautés du monde. C’est ainsi qu’entre deux emplois, nous partons visiter l’Orient, les Amériques, l’Afrique  et bien entendu l’Europe.

 

En 1968, à l’occasion d’un voyage en Inde (où nous allons en auto-stop), nous découvrons le yoga lors d’une visite à l’ashram de Sri Aurobindo à Pondichéry, à travers le livre de Satprem : « L’aventure de la conscience ».

 

Tout de suite nous nous passionnons pour ce yoga qui est considéré comme une science en Inde. Et tout de suite j’adhère au concept de réincarnation qui me propose une explication plausible aux injustices flagrantes de ce monde.

 

Au début des années 70, à Montréal, je découvre le phénomène Edgar Cayce (1877—1945), célèbre médium américain, capable de se mettre en autohypnose et de donner des « lectures physiques » et des « lectures de vie » en expliquant souvent les problèmes actuels par des évènements vécus plus tôt dans la vie du consultant ou dans ses vies passées.

 

Ses « lectures » ont été étudiées par bon nombre de médecins et de psychothérapeutes qui ont écrit quelques centaines de livres sur les sujets les plus divers abordés par Cayce.

 

Ce qui me renforce dans ma conviction concernant la validité de la réincarnation, c’est la convergence qui existe entre la philosophie qui se dégage de ses « lectures » et les enseignements du yoga. C’est d’autant plus étonnant que Cayce ne connaissait à l’époque rien au yoga ni aux philosophies orientales.

 

Dans les années 80, je suis nommé Représentant pour la France de l’A.R.E. (Association for Research and Enlightenment) association créée en 1931 par Edgar Cayce et son fils Hugh Lynn, et je crée le Centre Edgar Cayce qui édite un bulletin trimestriel pour mieux faire connaître Cayce aux francophones et pour servir d’organe de liaison entre ses membres.

 

A la même époque, nous suivons une formation de professeur de yoga qui deviendra la profession de mon épouse.

 

Je découvre aussi les régressions dans les vies passées grâce au Dr Chet Snow et, plus tard, j’apprends à les pratiquer avec Henry Leo Bolduc lors de deux séjours aux Etats-Unis.

 

Pendant longtemps, j’entretiens l’idée d’écrire un roman qui expliquerait les concepts de la réincarnation et en  montrerait les applications concrètes. N’étant pas écrivain, il m‘a fallu beaucoup de temps pour trouver les personnages et bâtir des scénarios dans cinq périodes et environnements différents ayant pourtant des rapports entre eux, pas toujours visibles.

 

Je n’ai volontairement pas voulu m’appesantir sur la description des personnages ou des environnements dans lesquels ils évoluent afin de ne pas détourner l’attention du lecteur de leurs échanges verbaux, de leurs actions et quelquefois de leurs pensées. En effet, ce sont eux qui sont porteurs des germes du futur, le soi-disant destin.

 

Avec mon épouse, nous organisons des formations d’enseignants de yoga nidra dans le Val d’Oise.

 

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A LA VIE PROCHAINE   par Bernard ELMIRA

 

 

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